Promis, demain, j’arrête

C’est vrai, ça. Il y en a marre de tous ces sondages qui ne veulent rien dire. On n’a aucune idée de leur fiabilité, au point que la seule véritable surprise, ce serait qu’il n’y en ait pas. Quand on a vu à quel point les sondeurs ont pu se tromper, et nous avec eux, on ne peut que se montrer pour le moins circonspect sur les résultats annoncés. Faut-il en arriver à des décisions définitives telles que celle du Parisien de ne plus faire de sondage du tout pour les prochaines présidentielles ?

Le « zentil » dictateur

Pas un mot plus haut que l’autre, « Bassar », avec son « seveu » sur la langue et son anglais impeccable acquis sur le tas pendant sa spécialisation en ophtalmologie à Londres, où il était considéré par son mentor anglais comme « gentil » et « sympathique ». Il parait qu’Adolf Hitler était charmant en privé. Qu’il était affectueux avec sa chienne Blondi, un berger allemand. On ne va quand même pas aller lui chercher des poux sur la tête sous prétexte qu’il a organisé l’extermination de quelques millions de Juifs et déclenché une guerre mondiale.

Un Brutus au petit pied

Décidément, il y a embouteillage pour tenir la place pourtant peu enviable de meilleur traitre envers le président sortant. Tous ceux qui se précipitaient autrefois pour voler au secours de sa victoire se dépêchent à présent de sortir la kalachnikov pour mitrailler l’ambulance élyséenne. Le dernier en date a pour nom Aquilino Morelle, qui espère sortir des oubliettes de l’histoire où il était tombé en étant démissionné de son poste de conseiller politique du président en avril 2014.

… Et l’infini

C’est ce qui vient à l’esprit après le zéro, vous savez, ce nombre entier de plein droit qui introduit un système de numération désignant une infinité de nombres avec un nombre fini de chiffres, c’est là leur première rencontre.

C’est une notion qui a été expliquée, développée selon deux angles, celui des mathématiques ou de la métaphysique.