Donald Trump par ci

Donald Trump par là. Il n’y en a que pour le président des États-Unis ces temps-ci, pour de bonnes ou de mauvaises raisons. Cela a commencé avec le sommet du G20 où les présidents russe et américain se sont confortés mutuellement dans le rôle de maitres du monde, malgré le fait que Wladimir Poutine ne soit plus le dirigeant que d’une puissance économique régionale, largement dépassée par la puissance émergente de la Chine. Les chefs d’états européens auront eu beau tenter de fléchir Trump sur la question du climat, il est resté sur ses positions.

Coupable, forcément coupable

La troisième victime de l’affaire du petit Grégory, vieille de près de 33 ans, aura donc été le juge chargé de l’instruction à l’origine, en 1984. Le « petit juge », comme on l’avait surnommé à l’époque en raison de son jeune âge, 32 ans, et de son inexpérience, car c’était sa première affaire. Et elle allait se révéler extrêmement complexe, au point qu’aujourd’hui encore l’enquête qui a été rouverte n’a pas révélé avec certitude le déroulement des faits. Après le premier décès, celui d’un enfant de 4 ans retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne, c’est Bernard Laroche qui a été tué par son cousin, Jean-Marie Villemin, qui le croyait coupable de l’assassinat de son fils.

Tout et son contraire

Plus tu pédales moins vite, et moins tu pédales plus vite. Le sommet de l’état vient de nous offrir une magnifique démonstration de rétropédalage, comme nous en avions pris l’habitude avec ses prédécesseurs. Autrefois, on aurait appelé ça un couac ou une cacophonie, mais puisque tout a changé, nous dirons, comme la presse, que le président démontre une remarquable célérité pour modifier les annonces en fonction des retombées attendues ou déjà présentes des mesures envisagées. C’est aussi ce qu’on appelle naviguer à vue, bien que cela ne protège pas forcément de tous les récifs et écueils sous-marins.

Majeurs et vaccinés

Majeurs, les Français ? Certainement ! Vaccinés, ça reste à voir. Pas assez au goût du gouvernement qui envisage de rendre obligatoires pas moins de onze vaccins au lieu de trois, qui sont pour l’instant recommandés, mais facultatifs. Bizarrement, les campagnes incitatives en faveur des vaccinations, telles que celle contre la grippe saisonnière, ne rencontrent pas un franc succès, on se demande bien pourquoi. À moins que cela ait quelque chose à voir avec le fiasco de Roselyne Bachelot et ses millions de doses commandées et payées aux laboratoires pharmaceutiques de son temps.