À la vôtre !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 28 août 2017 10:32
- Écrit par Claude Séné

Yec’hed mad en breton. Ne me remerciez pas, c’est cadeau. Ça peut toujours servir si vos pas vous mènent un jour dans la Bretagne profonde pour vous adresser aux indigènes à la buvette. En traduction littérale, yec’hed mad signifie bonne santé, un bien que les Bretons, comme le reste des Français, placent en dessus de la pile s’agissant des éléments constitutifs du bien-être à défaut du bonheur. Nous vivons une époque paradoxale où la médecine a fait d’énormes progrès, comme en témoigne la réimplantation des deux bras d’une femme accidentée à Grenoble.
La retraite… sans flambeaux
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 27 août 2017 10:28
- Écrit par L'invitée du dimanche

Celle qui m’intéresse, ce n’est pas l’action militaire qui consiste à se retirer, à se replier pour essayer d’éviter la défaite, celle de Russie est restée légendaire, le règne de Napoléon n’y a pas survécu !
Non je veux parler de cet état où l’on cesse d’être actif, où l’on arrête de travailler, et qui préoccupe chacun des acteurs économiques plongés dans le monde du travail. Elle devrait représenter dans la vie d’un individu, une pause, un répit mérité, après avoir contribué chacun à son échelle à la bonne marche de son pays.
Chopin
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 26 août 2017 10:25
- Écrit par Claude Séné

En argot de la belle époque, un chopin, c’est une bonne affaire, une aubaine, et monter un chopin signifie préparer un mauvais coup. C’est un peu l’impression que me laisse le déplacement d’Emmanuel Macron en Europe centrale et son attaque frontale contre la Pologne au sujet des travailleurs détachés. La Première ministre polonaise a évidemment répliqué en laissant entendre que le président français essayait de se refaire la cerise sur le dos des Polonais après ses déboires intérieurs et la baisse de sa popularité, et je ne peux pas lui donner entièrement tort.
Maudits Français !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 25 août 2017 10:13
- Écrit par Claude Séné

Ce n’est pas cette expression empruntée à nos cousins de la belle province que le chef de l’état a employée dans son discours de Bucarest, mais c’est bien la tonalité de ce qu’il a voulu exprimer. Contredisant sa propre consigne de ne pas parler de politique française depuis l’étranger, il n’a pas pu s’empêcher de manifester son agacement devant les signes d’indépendance d’esprit de ses compatriotes dont il aimerait faire ses sujets. Après les différentes annonces de l’été, en effet, on assiste à la montée des sujets de mécontentement.