Quitte ou double ?
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 24 juin 2019 10:36
- Écrit par Claude Séné

Ah ! ils sont forts, ces Turcs. Ce n’est pourtant pas précisément de ce pays que l’on pouvait espérer recevoir une leçon de démocratie, mais ils l’ont fait, et bien fait. Déjà, le 31 mars dernier, c’était une surprise de voir le candidat de l’opposition devancer d’une courte tête celui du parti présidentiel aux élections municipales de la capitale économique, Istanbul. Une victoire symbolique pour un pays où le président Recep Tayyip Erdogan s’est efforcé de réduire à néant toute forme d’opposition en diabolisant son rival en exil, Fethullah Gülen.
Nostalgie quand tu nous tiens…
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 23 juin 2019 10:19
- Écrit par L'invitée du dimanche

On connaît bien ce sentiment de tristesse, lié à des choses passées, provoqué souvent par la perte ou le rappel d’un événement ancien. Il est causé soit par l’éloignement spatial ou l’éloignement temporel comme dans le vieillissement.
La couleuvre Pompidou
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 22 juin 2019 10:48
- Écrit par Claude Séné

Pompidou une couleuvre ? Quèsaco ? Patience, j’y viendrai tout à l’heure. Emmanuel Macron a rendu depuis l’Élysée un hommage appuyé à l’ancien président Georges Pompidou, à l’occasion du cinquantième anniversaire de son élection, en soulignant les points communs qu’il possédait avec lui et en semblant s’inspirer des principes de son action. De quoi surprendre bien des observateurs, à commencer par moi. En effet, mis à part le fait que les deux hommes sont passés par la banque Rothschild, leur ressemblance ne saute pas aux yeux. Ce qui semble fasciner Emmanuel Macron, c’est que son prédécesseur ait réussi à se faire passer pour un paysan, tout en vivant comme un bourgeois.
Docteur Folamour et Mister Trump
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 21 juin 2019 15:08
- Écrit par Claude Séné

Oups ! he did it again ! Lorsque Donald Trump a été élu président des États-Unis d’Amérique, contredisant tous les pronostics des personnes sensées, les pires craintes ont été soulevées. On s’attendait à toutes les catastrophes possibles imputables à son tempérament colérique et à son orgueil démesuré. Et puis, malgré quelques décisions aussi dommageables à son propre pays qu’aux autres états, on avait fini par espérer que son entourage et son administration le dissuaderaient de provoquer le pire, c’est-à-dire un conflit plus ou moins généralisé où se trouveraient embarqués malgré eux des états à l’échelle mondiale.