Rions un peu…

Pour faire oublier la sinistrose que je risque d’avoir semée à mon dernier billet, je vous propose aujourd’hui de vous amuser en répondant à quelques questions de culture générale d’un quiz réalisé à ma façon, en piochant par-ci par-là dans les différents jeux vus à la télévision. (En vert, les réponses données.)

Eurêka !

C’était pourtant simple, encore fallait-il y penser. Après le scandale du logiciel truqueur de Volkswagen destiné à masquer les rejets polluants des moteurs diésel de la marque, il fallait réagir. Dans un premier temps, les responsables ont envisagé de rappeler les 11 millions de véhicules concernés afin de désactiver le logiciel incriminé. Mais, outre que cela va coûter une fortune au constructeur allemand, cela ne va en rien diminuer la pollution des moteurs et pourrait même l’aggraver. Sans compter que les automobilistes pourraient demander le remboursement de leur voiture si leur consommation augmentait de 10 % ou plus.

Danse avec le tsar

« Il n’y a qu’un seul président de la République, et c’est François Hollande ». Cette seule phrase dans la bouche de Nicolas Sarkozy ne manque pas de saveur. Elle résume toute l’ambiguïté du personnage et son art de dire le vrai pour faire entendre le faux. Il l’a prononcée à l’occasion de sa visite en Russie, où il a été reçu par le maitre du Kremlin avec lequel il a esquissé un pas de deux, comme pour évoquer un passé récent qu’il voudrait bien voir redevenir présent.

Cric-crac dans ma baraque !

Dans la plupart des jeux enfantins, il existe une disposition salvatrice qui permet d’échapper provisoirement à la pression de l’enjeu, de suspendre pour un temps la menace pour reprendre son souffle avant de repartir de plus belle dans la compétition. À l’échelle des adultes et du monde politique, un dispositif similaire est prévu et il s’appelle l’immunité parlementaire. Henri Guaino, qui n’a pas digéré l’amende de 2 000 euros à laquelle il a été condamné en appel pour avoir insulté le juge Gentil, coupable selon lui de crime de lèse-majesté pour avoir osé mettre en examen son chouchou, Nicolas Sarkozy, a récidivé en séance plénière de l’Assemblée nationale.