Fini de sourire
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 12 août 2018 09:40
- Écrit par L'invitée du dimanche

Après les héroïnes de Molière, un petit tour d’horizon vers les autres héroïnes du théâtre classique du 17e, celles qui sont souvent les pièces maîtresses du théâtre racinien et cornélien.
Pour commencer, avec Racine, c’est le théâtre de la pensée intérieure, les personnages ne se connaissent que dans leur passion, au milieu des intrigues psychologiques, évoluant dans des situations compliquées, les passions s’aggravent dans des circonstances incroyables, qui rendent l’amour illicite, déclenchent des chantages féroces, au milieu de duels fratricides, de pères jaloux, de filles égorgées, d’enfants incestueux, très largement inspirés des personnages du théâtre grec que Racine revisite à sa façon.
Une grève instructive
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 11 août 2018 10:12
- Écrit par Claude Séné

Le conflit social chez Ryanair est l’occasion de questionner un modèle économique très en vogue depuis un certain nombre d’années. Basée sur le low-cost, la compagnie irlandaise a conquis énormément de parts de marché et engrange des bénéfices records. Cependant, elle refuse d’en faire profiter son personnel, et notamment les pilotes, qui sont les principaux acteurs de l’avantage concurrentiel dont elle bénéficie. En les employant sous contrat de droit irlandais, la compagnie s’affranchit des cotisations sociales, ce qui lui permet un coût de revient inférieur. Un procédé que l’on retrouve sous une autre forme chez les chauffeurs VTC d’Uber.
La main de Dieu
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 10 août 2018 10:34
- Écrit par Claude Séné

C’est sous ce nom évocateur que l’histoire retiendra le but marqué de la main par Diego Maradonna, dieu vivant du football en Argentine, comme Pelé au Brésil, qui permit à son pays de battre l’Angleterre et ainsi de continuer sa route vers le titre mondial en 1986. Il est aujourd’hui admis que la junte militaire alors au pouvoir avait exercé les plus vives pressions pour éviter toute « erreur » d’arbitrage et notamment permettre à l’Argentine de prendre sa revanche sur la défaite militaire aux Malouines, infligée quatre ans plus tôt par la marine anglaise.
Faux-pas
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le jeudi 9 août 2018 10:34
- Écrit par Claude Séné

Ni le président Emmanuel Macron ni son Premier ministre Édouard Philippe n’étaient présents aux cérémonies célébrant hier le centième anniversaire de la bataille d’Amiens, qui fut décisive dans la victoire des Alliés. Le Royaume-Uni avait délégué sa 1re ministre, Theresa May, et le Prince William, héritier de la couronne, cependant que la France se contentait du service minimum avec la ministre des Armées, Florence Parly, numéro cinq dans la hiérarchie gouvernementale, montrant le peu de cas du président pour cet évènement. Pendant ce temps, Emmanuel Macron était fort occupé à se montrer en toute décontraction au pied du fort de Brégançon en compagnie de Brigitte.