Tempête dans un pot de rillettes
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le lundi 2 novembre 2015 11:09
- Écrit par Claude Séné

Le rapport de l’Organisation mondiale de la santé a suscité une tornade de commentaires hâtifs et alarmistes qui soulignaient à qui mieux mieux les dangers de la consommation excessive de viande rouge et de charcuterie. Dans cette phrase, le mot important est « excessive ». Si vous avez l’habitude de petit déjeuner au jambon beurre, de vous taper un steak de 300 g à midi avant de prendre votre saucisson pour le goûter et terminer par un gigot au diner, attention, danger ! Franchement, vous ne vous en doutiez pas un peu ?
Rions un peu…
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le dimanche 1 novembre 2015 11:01
- Écrit par L'invitée du dimanche

Pour faire oublier la sinistrose que je risque d’avoir semée à mon dernier billet, je vous propose aujourd’hui de vous amuser en répondant à quelques questions de culture générale d’un quiz réalisé à ma façon, en piochant par-ci par-là dans les différents jeux vus à la télévision. (En vert, les réponses données.)
Eurêka !
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le samedi 31 octobre 2015 10:34
- Écrit par Claude Séné

C’était pourtant simple, encore fallait-il y penser. Après le scandale du logiciel truqueur de Volkswagen destiné à masquer les rejets polluants des moteurs diésel de la marque, il fallait réagir. Dans un premier temps, les responsables ont envisagé de rappeler les 11 millions de véhicules concernés afin de désactiver le logiciel incriminé. Mais, outre que cela va coûter une fortune au constructeur allemand, cela ne va en rien diminuer la pollution des moteurs et pourrait même l’aggraver. Sans compter que les automobilistes pourraient demander le remboursement de leur voiture si leur consommation augmentait de 10 % ou plus.
Danse avec le tsar
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- Catégorie : Diabloguiste
- Publié le vendredi 30 octobre 2015 10:55
- Écrit par Claude Séné

« Il n’y a qu’un seul président de la République, et c’est François Hollande ». Cette seule phrase dans la bouche de Nicolas Sarkozy ne manque pas de saveur. Elle résume toute l’ambiguïté du personnage et son art de dire le vrai pour faire entendre le faux. Il l’a prononcée à l’occasion de sa visite en Russie, où il a été reçu par le maitre du Kremlin avec lequel il a esquissé un pas de deux, comme pour évoquer un passé récent qu’il voudrait bien voir redevenir présent.