L'impossibilité d'une île

Impossible n'est pas Français. La preuve, le premier ministre français, Jean Castex, a réussi à renouveler la bourde d'Emmanuel Macron qui qualifiait en 2017 la Guyane d'être une île. Un tel acharnement dans l'erreur ne peut pas être complètement fortuit. On ne peut pas imaginer un instant que le Premier ministre et le Président de la République soient aussi incultes et nuls en géographie qu'un Donald Trump qui invente les noms des pays quand ça l'arrange pour suppléer ses insuffisances.

Bonnie and Clyde

Changement de lieu, changement d’époque, on se retrouve aux États-Unis dans les années 30 pendant la Grande dépression qui constitue une toile de fond expliquant pourquoi l’Amérique s’est enflammée pour ce couple maudit. Toute une légende s’est construite autour d’eux qu’il convient bien sûr de relativiser, les faisant entrer dans le catalogue des amoureux célèbres.

Bonnie Parker, née en 1910 au Texas et vivant à Dallas, est une excellente élève, passionnée de littérature, elle écrit des poèmes. Elle abandonne l’école pour épouser Roy Thornton qui la maltraite et qui, petit délinquant, atterrit en prison, elle retourne alors chez sa mère, gagne sa vie comme serveuse et s’ennuie à mourir.

Diversion

Habituellement, le Premier ministre est chargé de chaperonner les ministres un peu moins connus pour leur faciliter l’introduction auprès d’un public qui les découvre. Avec le nouveau chef du gouvernement, on a l’impression que c’est l’inverse qui se passe. Jean qui ? Jean Castex ! Connais pas. Mais si, c’est le nouveau Premier ministre. Ah ! bon ? Je croyais que c’était le chauffeur. J’exagère à peine, tant le « nouveau » paraît emprunté, malgré un côté « franc et direct » selon ses interlocuteurs syndicaux et patronaux.

Objectif zéro mort

Désolé de plomber l’ambiance à la veille d’un week-end de vacances qui s’annonce ensoleillé, mais ma réflexion du jour porte sur la façon dont nos sociétés modernes considèrent la fin de la vie en fonction des circonstances. On a coutume de dire que la mort fait partie de la vie et l’on ne s’étonne plus de voir disparaitre autour de soi des personnes d’un certain âge, voire d’un âge certain. Il en va tout autrement quand la mort frappe des personnes jeunes, ou dans des circonstances particulières, engendrant un sentiment d’injustice plus fort qu’à l’ordinaire.